Une baby-sitter plutôt dévouée

Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 5 ans

Clément n'avait pas eu de chance. Week-end de compétition de trial, vélo vérifié minutieusement, entraînement optimal. Ce samedi matin-là, il s'était levé avec une pêche de tous les diables, sûr de pouvoir venir à bout de tous ses concurrents. Il en était persuadé, une fois le trophée en main, il partirait rejoindre ses parents à la Rochelle et leur exposerait fièrement sa gloire.

Pourtant, malgré un repérage attentif de la piste le matin, le jeune homme n'avait pu éviter la sortie de piste et l'accident. Trop de confiance, trop de hardiesse, trop de témérité lui avaient coûté non seulement la victoire mais aussi l'usage de ses deux bras. Une foulure assez grave du poignet droit et un bras gauche cassé lui valaient un plâtre à chaque membre.

Le jeune homme se sentait humilié par sa défaite et son incapacité à se servir de ses mains. Mais il n'était pas au bout de ses peines. Ramené chez lui par son équipe de trial, ses parents absents pour la semaine avaient trouvé comme solution d'engager une baby-sitter pour l'aider dans ses tâches quotidiennes. Envoyée par l'agence contactée par ses parents, elle était déjà là quand il arrivait chez lui. Elle avait récupéré les clés chez les voisins et bouquinait sur la terrasse.

Vexé par la présence d'une baby-sitter alors qu'il avait presque 19 ans, Clément rentrait chez lui de méchante humeur. Pourtant, quand il la vit entrer dans le salon depuis la terrasse, il en resta bouche bée. Elle était...elle était...superbe. Son coeur manqua sans doute quelque battements. Il vit tout d'abord, dans la lumière du soleil, ses longs et lisses cheveux châtains clairs qui semblaient brûler d'or et se balancer comme de la soie. Puis il vit sa silhouette gracile onduler en passant la porte-fenêtre, ses hanches fines chaloupant vers lui. L'espace d'un instant, il put voir ses jambes fines à travers sa robe grâce au soleil derrière elle. Son ventre palpita.

Quand elle quitta la lumière et qu'il put mieux la voir, il fut encore plus ravi. Un visage sage, souriant, des yeux marrons en amandes, des lèvres fines allongées en un sourire accueillant qui faisaient apparaître ses fossettes, des tâches de rousseur discrètes finissaient de la rendre charmante. Clément était subjugué quand elle s'approcha de lui.

  • "Bonjour, tu dois être Clément si j'en crois tes trésors de guerre" lança-t-elle en montrant les bras du jeune homme.

  • "Bah...beuh...oui" fut tout ce que Clément put répondre sur le coup.

  • "Holà, tu es fatigué on dirait" fit-elle avec un sourire amusé. "Je m'appelle Florine et je suis là pour t'aider cette semaine. Est-ce que tu veux boire quelque chose ?"

  • "Euh, oui, merci."

Florine se dirigea donc vers la cuisine d'un pas léger. Clément pouvait la voir marcher devant lui. Son regard glissa malgré lui vers les jolies fesses de la jeune fille qui se balançaient devant ses yeux. Une pensée traversa son esprit. Portait-elle une culotte ou un string ? Il ne put le déterminer. Mais déjà elle virevoltait face à lui.

  • "Tiens, voilà un verre d'eau" proposa-t-elle en lui tendant un verre.

La gorge sèche, Clément voulut se saisir du verre mais il redécouvrit ses bras inaptes. Florine laissa échapper un petit rire amusé et porta le verre à sa bouche.

  • "Tu ne t'es pas raté, mon pauvre" dit-elle en le faisant boire patiemment.

  • "Ne te moque pas. Une chute pareille, ça ne m'était pas jamais arrivé."

  • "Je ne me moque pas mais ça ne va pas être facile pour toi cette semaine. Je vais tout faire pour que tu t'en sortes."

  • "Merci beaucoup" répondit Clément, rougissant devant le sourire charmant de la jeune fille. "Tu as quel âge ?"

  • "21 ans. Et toi 18, c'est ça ?"

  • "Bientôt 19."

  • "Tu veux faire quoi maintenant ?" demanda Florine.

  • "Je veux me reposer un peu. Je vais aller dormir".

  • "Ok, n'hésite pas à m'appeler si tu veux quelque chose, n'importe quoi."

Clément laissa donc Florine au rez-de-chaussée et monta dans sa chambre pour s'allonger sur le lit. Ses pensées étaient remplies de la jeune fille. Quelle était belle, gracieuse. Quand il repensait à sa silhouette charmante, ses jolies fesses, son ventre se tordait. Et ses seins ? Il n'avait même pas pensé à les regarder. Ou bien il n'avait pas osé. Florine semblait si sage et serviable qu'il se reprochait presque ces pensées grivoises.

Rapidement, la fatigue du voyage, la douleur de ses blessures le plongèrent dans un sommeil profond. Quand il se réveilla, il faisait presque nuit. Il était prêt de 20h. Doucement, il s'assit sur le lit, reprit ses esprits et pensa à Florine. Que faisait-elle ? Pour le savoir, il sortit de sa chambre et retourna vers les escaliers. En passant devant la salle de bain, il se rendit compte qu'elle était occupée. La jeune fille prenait une douche. Ses pensées s'emballèrent sans contrôle.

Derrière la porte, il l'imaginait nue sous le jet de la douche, l'eau coulant sur ses épaules, dans son dos, sur ses fesses et ses longues jambes. L'ombre d'une seconde, son regard glissa vers la clenche de la porte pour voir si elle était restée ouverte. Elle était fermée. Dommage. Pourtant Clément savait qu'il n'aurait pas osé la pousser. Comme pour chasser les pensées qui le culpabilisaient, il se détourna de la salle de bain et descendit les escaliers. En bas, il se cala dans le canapé et parvînt à allumer la TV du bout des doigts.

Au bout de 10 minutes, Florine redescendit de la salle de bain. Elle s'était changée pour un pantalon bleu ciel léger et un débardeur blanc. Cette fois-ci, le jeune homme remarqua les seins de la jeune fille. A croquer fut sa première pensée. Ils semblaient deux pommes serrées sans soutif dans le débardeur, dont le décolleté les laissaient apparaître suffisamment pour laisser l'imagination battre la campagne.

  • "Oh, tu es réveillé" lui lança-t-elle, le tirant de sa rêverie.

  • "Oui...oui."

  • "Tu m'as appelé ? Je prenais une douche et je n'ai peut-être pas entendu. J'ai peut-être été bête de fermer la porte." Les pensées de baignade envahirent à nouveau l'esprit de Clément.

  • "Euh, non, non. C'est bon." balbutia-t-il.

  • "Tu es sûr ? Tu n'oserais pas me le dire, c'est ça, hein ?" dit-elle un peu inquiète. "La prochaine fois, je laisserai la porte entrouverte.

  • "Ne t'inquiète pas, fais comme tu veux" parvînt-il à dire, même si la porte entrouverte monopolisait tout son esprit.

  • "Bon, tu dois avoir faim ?" s'enquit-elle.

Pendant qu'il regardait la TV, elle lui prépara un plat rapide puis l'aida à manger. Il se sentait un peu humilié mais sentir le visage de Florine proche du sien, son regard sur lui, faisait voguer son esprit sur un océan de coton. Il pouvait sentir l'odeur de savon émaner de la peau de la jeune fille, voir ses longs cheveux glisser de son épaule quand elle se penchait vers lui. Et son coeur battait. Il battait tellement qu'il craignait qu'elle ne l'entende. Pourtant, elle ne semblait pas s'en rendre compte. Elle l'aidait avec patience et douceur, comme une infirmière. Il était gêné des pensées qui le traversaient et les refoulait vigoureusement.

Après le dîner, ils discutèrent. Elle le questionna sur ses compétitions et il lui parla de sa passion pour le trial et le sport. Elle l'écouta avec intérêt, s'amusa de ses anecdotes. Elle était charmante, jolie et apaisante. Pourtant, après leur discussion, il y eut un petit incident.

Florine proposa au jeune homme de lui faire sa toilette. Et soudain, Clément prit conscience qu'il était incapable de se laver seul et que ce serait à Florine de le faire pendant une semaine. Le rouge lui monta aux joues en une seconde. Lui nu devant elle qui le laverait ? Impossible. Comment pourrait-il réfréner ses pensées pour elle, son érection, telle qu'il en avait eu une devant la porte de la salle bain ? Non, impensable.

Il parvînt à expliquer qu'il était trop fatigué pour ce soir et qu'ils pourraient toujours voir demain. La jeune fille sentit la pudeur, ou ce qu'elle prit pour telle, du jeune homme et n'insista pas. Pour soulager sa gêne, Clément retourna dans sa chambre et laissa la jeune fille dans le salon devant un livre. Malgré sa longue sieste, le sommeil reprit le jeune homme rapidement, sans doute en raison de la fatigue et de la douleur liées à ses blessures.

Le lendemain matin, Clément se réveilla de bonne humeur. Ses bras ne l'avaient pas trop fait souffrir et il avait passé une nuit régénératrice. Ce fut donc avec un réel plaisir qu'il retrouva Florine à la table de la cuisine. Il était 9h et elle prenait son petit déjeuner. Elle portait toujours son pantalon léger et son débardeur blanc. Elle était à croquer dans le soleil matinal. Quand elle se tourna vers lui avec son sourire charmant et un mot de bienvenue, Clément lui aurait sans doute sauté au cou si ses bras et sa timidité ne l'avaient pas empêché.

  • "Te voilà levé ! Tu veux prendre ton petit déjeuner avec moi ?" proposa-t-elle.

  • "Avec plaisir !" accepta Clément avec un large sourire.

Florine l'aida à s'installer et elle lui donna à manger patiemment. C'était une magnifique matinée. Le jeune homme ne pouvait empêcher son regard de se promener sur sa baby-sitter. Son cou qu'il devinait entre les mèches de sa chevelure chocolat, ses épaules nues qui paraissaient si douces, ses seins prisonniers du tissu, ses mains fines et délicates qui lui portait la nourriture à la bouche. Oui, c'était un merveilleux moment, plein de délicatesse.

Après le petit déjeuner, ils passèrent sur la terrasse pour prendre le soleil. Ayant un peu chaud, Florine remonta dans sa chambre pour se changer et revînt vêtue d'un petit short moulant. Quand il l'aperçut, le coeur de Clément manqua un battement. Elle vînt s'allonger sur la chaise longue à côté de celle du jeune homme. Elle proposa de lui lire une nouvelle de Sherlock Holmes qu'elle allait commencer. Clément accepta en balbutiant.

Elle lisait admirablement bien. Sa voix coulait dans la tête du jeune homme, telle une berceuse. Ses yeux caressèrent les cuisses nues de la jeune fille. Une peau de pêche, un léger duvet. Elle changeait parfois de position et la danse de ses jambes était un régal. Lorsqu'il l'osait, son regard remontait le long des cuisses, entre elles, vers son short qui cachait... Puis la pudeur et la culpabilité de ses pensées le ramenaient à l'histoire de Conan Doyle.

Lorsque la nouvelle fut finie, Florine se tourna vers son patient.

  • "Bon, maintenant, si on pensait à faire ta toilette ?" lança-t-elle brusquement. Clément était dans un tel état de bien-être et de rêveries qu'il ne pensa pas à protester.

Ils se retrouvèrent dans la salle de bain avant que Clément ait pu réaliser.

  • "Je te propose de te mettre sous la douche. Je vais te laver avec le jet d'eau là où je peux et je prendrai le gant pour tes épaules et tes bras au-dessus du plâtre. Ca te va ?"

  • "Ou..oui. Mais il faut que je me mette tout nu ?"

  • "Ahaha, c'est mieux oui." rit-elle spontanément, avant de réaliser le malaise du jeune homme. "Tu vas pas avoir le choix si tu veux que je te lave complètement. Je comprends que ça te gêne mais on va essayer de faire ça le plus vite possible."

  • "Ok" fut tout ce que put répondre Clément, pensant à tout ce qu'être nu devant une fille allait impliquer.

Pour la première fois depuis qu'il était rentré, Clément se déshabilla, ou plutôt se fit déshabiller. Avec précaution, Florine ôta son T-shirt puis se baissa pour dénouer son short et le lui enlever. Déjà, le jeune homme devait se concentrer pour ne pas être excité par la situation et les caresses involontaires de Florine. Le temps sembla se figer quand il fallut lui ôter son caleçon.

  • "Euh, je peux ?" demanda timidement Florine en désignant le caleçon du doigt.

  • "Oui...puisqu'il le faut."

Clément pouvait voir la scène au ralenti. Florine posa ses mains délicatement sur les bords de son caleçon et commença à le baisser. Il pouvait voir sa toison brune apparaître quand elle dévoila son pubis. Finalement, le geste de la jeune fille finit par dévoiler son intimité et il se retrouva nu devant son visage. Quel effort il lui fallut pour retenir une érection ! Il craignait de gâcher la relation qui s'était installée avec sa gardienne. Son sexe palpita une fois, deux fois puis il se calma. L'avait-elle vu ? Peut-être pas mais il lui semblait qu'elle avait rougi quand il apparu nu devant elle. Et puis, en y réfléchissant, depuis qu'il était nu, elle semblait éviter son regard et ne prononçait plus un mot.

  • "Allez, on s'y met ?" fit-elle avec un peu trop de vigueur en se relevant.

  • "Plus vite ce sera fait, mieux ce sera !" répondit Clément, retrouvant un peu de présence en constatant la gêne de Florine.

  • "Alors, tu vas lever tes bras et je vais te laver le torse et le bas du corps. Ensuite, on passera aux épaules et aux cheveux. Tu me dis si c'est froid ?" finit-elle en attrapant la pomme de douche.

  • "Oh, je ne suis pas contre une douche froide !" annonça-t-il en pensant que cela calmerai ses ardeurs.

Habillé, Clément aurait pu passer pour un de ces gars grands et longilignes, taillés comme une asperge. Mais une fois nu, on pouvait voir l'effet de l'entraînement sportif chez ce grand sec. Des épaules larges surmontant des pectoraux et des abdominaux qui se dessinaient bien sans être trop développés, un dos solide et noueux. Des jambes toutes en muscles et des petites fesses en béton. Bref, il était un beau gosse qui pouvait ne pas laisser indifférent.

Et c'est ce qui semblait se passer pour Florine. Le jeune homme l'observait quand elle passait le gant de toilette sur son torse, dans son dos. Elle paraissait se concentrer sur ce qu'elle faisait avec un peu trop d'attention. Elle rougissait, il en était certain.

Une fois le haut du corps lavé et rincé, Florine s'agenouilla devant la douche et ses mains vinrent parcourir les longs muscles des cuisses et des mollets de Clément. Le jeune homme avait beau se concentrer pour retenir l'excitation que lui procuraient les caresses de Florine, c'était de plus en plus dur. Et ce qui devait finalement arriver, arriva.

Quand les mains de la jeune fille passèrent timidement sur son pubis, le sexe de Clément se mit à gonfler doucement. Le rouge sur les joues de Florine augmenta et sa main hésita. Il était difficile de faire comme si de rien n'était.

  • "Euh, je suis désolé, j'ai essayé de me retenir mais..." commença Clément.

  • "Je...je comprends. C'est juste que...comment on fait maintenant ?" parvînt à répondre Florine.

  • "Bin...je pense que si tu me laves vite fait, ça pourrait suffire."

  • "Mmh...ok."

Florine sembla reprendre du poil de la bête et se saisit avec douceur du pénis de Clément. Elle l'entoura de sa main gantée et le nettoya tendrement puis passa aux testicules. Tout cela ne dura pas plus de 15-20 secondes mais quel bonheur pour Clément. Toute la pudeur qu'il éprouvait au début avait disparu au profit du plaisir des caresses de sa baby-sitter. Florine gardait le regard bas et dès qu'elle eut nettoyé le sexe du jeune homme elle se saisit de la pomme de douche pour le rincer tout aussi tendrement. Bien sûr Clément n'avait pu se retenir sous la main de la jeune fille et son sexe était quasiment dressé au maximum. Bien qu'elle paraissait embarrassée, Clément nota que sa main nue s'attarda un peu plus que nécessaire autour de sa verge lors du rinçage.

La douche se termina sans autre problème, si ce n'est lors du rinçage des épaules de Clément. Alors que Florine se tenait debout devant lui et qu'elle parcourait sa peau de son gant, le gland du sexe dressé de Clément entra en contact avec le ventre de la jeune fille. Le temps sembla se figer, comme si tout ce que les deux jeunes gens avait dans la tête passait sur la balance de leurs émotions. Puis Clément s'excusa, Florine en fit de même et elle s'écarta un peu plus pour terminer la toilette.

Une fois séché, Clément était calmé. Florine l'aida à s'habiller et ils descendirent ensemble dans le salon. La baby-sitter prépara le déjeuner en tâchant d'entretenir une conversation banale sur les vacances et les projets de Clément pour la rentrée. Le jeune homme répondait tout aussi distraitement, ayant toujours la tête pleine de son désir non assumé pour la jeune fille. Il se morigénait de ses pensées devant l'innocence et la dévotion de Florine.

Patredwey

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